Blazers 30 :Superman again and again : Doomsday omnibus

Publié le par Devotionall

Un petit tour d'horizon de l'actualité des comics, et nos dernières lectures. Avis eclairés pour lecteurs gâtés, voilà la devise de ce blog! Et on continue avec Superman, qui se gagne tous les honneurs, recemment, sur ce blog. Il faut dire que votre serviteur a beaucoup de pain sur la planche avec DC comics dernièrement. A vos mails pour vos propres chroniques de comics.

Chroniques : Nous venons de finir la lecture du pavé gigantesque édité par la DC comics, Superman/Doomsday - Omnibus. Derrière cette dénomination se cache un gros volume regroupant toutes les apparitions du tombeur de superman, depuis la resurrection de ce dernier. Après avoir mis la paté à l'homme d'acier, et avoir succombé en l'entrainant dans la tombe, Doomsday est pourtant de retour, car rien ne saurait le maintenir bien longtemps ad patres : il a été crée pour s'adapter à tout, même aux situations extrêmes, comme un décès. Cela lui prend du temps, mais il se rétabli toujours! On imagine aisément la tête du Superman dans le premier arc narratif, Hunter/Prey, quand il se retrouve face à l'évidence : Doomsday lives again! La peur, voire la panique, se mêlent à l'héroïsme, jusqu'à ce que le devoir impose à Clark Kent de revêtir sa cape et ses collants, pour aller tutoyer une seconde fois la mort. Beaucoup de rythme, des retrouvailles réussies et attendues, avec en prime enfin les origines du monstre révélées. On retrouve le couple antithétique dans Doomsday wars, et cette fois la créature est possédée par un autre ennemi de superman, Brainiac, qui ajoute à la force invraissemblable de Doomsday son propre intellect et ses capacités psychiques. Superman est dans la mouise, et les dessins de Jurgens rendent le tout très sympathique. Pour corser le tout, Superman doit choisir : ou combattre son pire ennemi, ou tenter de sauver la vie du nouveau né de sa meilleure amie, Lana Lang. Une aventure à 300 à l'heure, sans temps mort; le tomber de rideau sur les belles aventures de Doomsday. Le reste est anecdotique : L'annual Doomsday one est juste un bonus dispensable, et les dernières apparitions de la bête sont décevantes, et redondantes. On préferera en rester aux deux minies séries décrites plus avant, qui constituent l'essentiel de cet "omnibus". ( 7/10 )

MARVEL 2007 : Parmi les grandes réalisations de la Marvel pour 2007, les permières indicrétions commencent à pleuvoir. Ainsi le personnage de Captain America devrait subir un sérieux lifting en parallèle aux conséquences de la Civil War, qui ne vas pas tarder à s'achever aux States. Les New Avengers, eux, n'ont pas fini d'affronter leurs secrets honteux et leurs actions discutables, dans une mini série sulfureuse, intitulée The initiative. Quand à Spiderman, on annonce une mini série dans laquelle les rapports avec sa femme, MaryJane, vont être à jamais et profondément marqués : mais personne ne laisse entendre si pour le meilleur ou pour le pire. spidey bientôt divorcé?

SILVER SURFER : On le sait déjà, mais les images arrivent : le prochain film des Fantastic Four aura comme sous titre : The rise of the Silver Surfer. Nous allons donc decouvrir un Norrin Rad fièr comme deux sous sur son surf, grâce à la magie de l'ordinateur et du virtuel. Emballer Hugh Jackman ou Nicholas Cage dans du papier alu aurait fait l'affaire, mais cela coutait au final encore plus cher, d'où la solution technologique. Le film sera axé sur les tourments du Surfer, prisonnier de son enveloppe métallique, suite à un pacte passé avec Galactus pour la sauvegarde de sa planète natale. Ce qui excluait également de confier le rôle à Tom Cruise, l'homme aux deux seules expressions : le poisson pané et la courge au micro ondes.

 

Coté Blazers, une des pires performances de l'année a été enregistrée cette nuit. Portland a réussi l'exploit de se faire battre à domicile face à la modeste formation de Philadelphie, qui n'a pourtant rien d'un foudre de guerre. Triste rencontre avec de piètres statistiques personnelles et un manque de mordant dans les moments décisifs. De plus une victoire rendue encore plus amère par la présence de coach Cheeks, ex Blazer, sur le banc des Sixers : plus incompétent que Maurice, cela n'existe en principe pas. Allen Henderson avait reçu la mission de s'occuper personnellement de Zach Randolph durant le match et est parvenu à en limiter grandement le rayonnement offensif. Les Blazers ont dilapidé une avance de douze points en début de match par les seules pertes de balles, et une bien faible défense. La motivation n'y était pas, une rencontre à oublier au plus vite, le type de rencontre qu'à Portland plus personne n'aimerait voir.

Iguodala en ballade à Portland

PORTLAND - PHILADELPHIE   95 - 98

PTS : IGUODALA  ( Phi )   32

RBS : RANDOLPH   12

ASS : MILLER ( Phi )   10

Bilan : 13V   17D

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